Intro

Il y a 7 ans je m’inscrivais plein d’espoir sur Github.

Après autant d’années, que pouvons-nous dire de mon activité sur Github, du social coding et de mon avenir dans ce méandre de code ?

Graphe acyclique

Image partagée par David Eppstein sur Wikipedia.

Quelques chiffres

Plus que des mots, il faut des chiffres pour mesurer l’ampleur - ou non - du social coding.

Actuellement 44 projets, dont 9 copies d’autres projets, j’ai fait en moyenne 300 commits par an.

Dans la liste des projets, beaucoup sont morts-nés, d’autres morts par choix et finalement d’autres peu usités.

J’ai peu d’étoiles sur mes projets, voire pas du tout, excepté un projet de moteur de blog statique écrit en Lua et un outil de badge GNU Social.\ Il ne reste plus que 3 ou 4 projets environ qui mériteraient d’avoir l’adjectif « maintenu ». Cela ne fait que 10% des projets.

Le bilan

Certes j’ai participé à quelques projets. Aidé à corriger quelque trucs. Me suis lancé dans la création de mes propres projets.

Mais au final, non seulement ça n’aboutit à rien, mais en plus 300 commits font pâle figure à côté de « vrai » développeurs qui sont passionnés par leurs projets et/ou leur langage.

Je pense donc être d’un avis mitigé quand à ma participation au social coding sur Github.

Conclusion

Bien que le bilan soit assez pessimiste, je suis certain qu’il y a quelque chose à faire sur Github pour devenir efficace et utile sur les projets Open Source.

Par ailleurs d’autres « niches » à code ont vu le jour depuis Github, je parle notamment de Gitlab, utilisé notamment par Framagit.

L’avenir nous dira si j’ai trouvé mon chemin dans ce plat de spaghettis.