Pour l’Ă©preuve orale de BTS Informatique et Gestion 2007, il faut rendre un compte rendu de 20 pages sur un sujet particulier d’informatique. Ce rapport est nommĂ© Note de Synthèse, et doit faire 20 pages environ.

A cet effet je me suis donc penché sur la question, et suis arrivé à la conclusion suivante : étant bidouilleur de nature sur la conception des pages internet, pourquoi ne pas faire un sujet complet là dessus ?

Je me suis lancĂ© sur l’ Ancienne version de la note de synthèse qui parle des Normes de la Toile. Finalement je n’ai pas avancĂ©, car le sujet est trop ciblĂ© “COURS” ou “LECON PRATIQUES”. J’ai donc suivi l’affaire en pensant Ă  une chose : Pourquoi ne pas partir d’un exemple pour construire la synthèse ? Ce n’est pas une mauvaise idĂ©e, après tout si je met en jeu deux journalistes ou plus, qui voudraient publier des informations, je peux facilement parler du HTML, du XHTML, du CSS et finalement du Python !

Ainsi je propose les pages suivantes, dans lesquelles nous retrouverons mes avancées du travail.

Titres possibles

Titres possible de la note de synthèse :

Plan

  1. I / Introduction
  2. II / Le travail du journaliste amĂ©liorĂ© par l’outil informatique 1. A / La numĂ©risation des documents
    1. a) A la main
    2. b) La numérisation par périphériques 2. B / Les logiciels de traitement de texte
    3. a) L’interface
    4. b) Les couleurs, la mise en page
    5. c) Les styles 3. C / Exemple
    6. a) Un article de journal, tel ceux publiĂ©s dans le journal local : les DNA ou Dernières Nouvelles d’Alsace.
    7. b) Le mĂŞme article tapĂ© Ă  l’ordinateur sur un logiciel tel que EDIT, NOTEPAD ou encore VIM
  3. III / La dĂ©couverte de la Toile 1. A / La balise, vĂ©ritable vecteur structurant du texte pour l’impression sur la Toile
    1. a) HTML
    2. b) XHTML/XML 2. B / Notre journal traduit dans un langage de présentation : les balises en action
    3. a) L’article, façon HTML
    4. b) Sauce XHTML (quasi similaire)
  4. IV / Une gestion plus simple de l’information : dĂ©couverte du dynamisme sur la Toile (entretien, maintenance plus simple d’un site internet) 1. A / PrĂ©sentation de quelques langages utilisĂ©s
    1. a) JS (Javascript)
    2. b) Java
    3. c) Flash
    4. d) Python
    5. e) PHP 2. B / Le PHP, ou les clĂ©s d’un succès rapide et facile sur le rĂ©seau des rĂ©seaux
    6. a) Se connecter à une base de donnée et afficher les informations récupérées
    7. b) Gérer les accès par modification du fichier .htaccess
    8. c) Notifier une personne par courriel
  5. V / PrĂ©sentation des pages, ou comment habiller son texte avec des feuilles de style 1. A / La sĂ©paration de l’âme avec le corps 2. B / Petits exemples pratiques
    1. a) Portedesetoiles .NET (V1.0), Section RĂ©sumĂ©s – Affichage Ă  l’ancienne, cependant SANS tableaux)
    2. b) GeLinux, Page d’accueil – La simplicitĂ© grâce aux couleurs primaires
    3. c) Mathidounette.free.fr, Section Anniversaire – Aspect atypique, couleurs féminine appropriées au thème du site
  6. VI / La cuisine gastronomique, ou comment marier quelques aliments parmi ceux cités 1. A / Quelques mots sur Python et Django
    1. a) Présentation de Python
    2. b) Présentation de Django 2. B /Un mélange bien mesuré
    3. a) Utilisation du langage Python au travers des librairies fournies par Django
    4. b) La séparation des pouvoirs ou comment avoir des templates
    5. c) L’utilisation du XHTML et du CSS chez Django
  7. VII /Conclusion

Introduction de la note de synthèse

L’informatique a pour beaucoup amĂ©liorĂ© le travail des diffĂ©rents salariĂ©s de par le monde. DĂ©sormais prĂ©sent dans la plupart des foyer, un ordinateur permet Ă  l’utilisateur la mise en forme de ses donnĂ©es, ou tout simplement de rĂ©duire la place prise par ces dernières (une disquette par exemple prend bien moins de place qu’une quantitĂ© de feuilles).

La pĂ©riode de stage effectuĂ©e Ă  l’UniversitĂ© March Bloch de Strasbourg m’a permis de dĂ©couvrir de nouveau langage de programmation, mais Ă©galement des techniques nouvelles, permettant la prĂ©sentation de l’information sur internet.

Nous verrons donc au travers l’exemple du journalisme, l’Ă©volution des techniques employĂ©es dans la prise d’information, la mise en forme des donnĂ©es accumulĂ©es par les journalistes pour finalement montrer une solution possible Ă  toutes celle prĂ©sentĂ©es, sorte de mĂ©lange.

Contenu

Introduction

Cf. Chap précédent

II / Le travail du journaliste amĂ©liorĂ© par l’outil informatique

Le travail du journaliste est simple : trouver l’information, faire quelques recherches complĂ©mentaires, et mettre Ă  plat le tout. Un rapport manuscrit est alors formulĂ©, sorte de synthèse du sujet choisi.

Aujourd’hui les choses sont diffĂ©rentes, nous utilisons l’outil informatique.

A / La numérisation des documents

Les documents sont de deux types dans le journalisme : Textuels et iconographiques.

Pour les insĂ©rer dans l’ordinateur, deux voies sont possibles :

a) A la main

La personne s’occupe d’entrer manuellement son texte ou encore l’image. Pour le texte, au dĂ©part il y avait EDIT (sous MS-DOS), Bloc – notes (Microsoft Windows), ou encore VI (sous UNIX).

Pour la crĂ©ation iconographique, il y a aussi des logiciels minimalistes tels que Paint ou Kpaint. Plus tard ce sont Adobe Photoshop ou The Gimp qui permettront d’affiner les images ou mĂŞme de les crĂ©er. Mais d’autres mĂ©thodes permettent d’insĂ©rer texte ou images.

b) La numérisation par périphériques

Ainsi de nouveaux appareils sont apparus sur le marchĂ© de l’informatique : les numĂ©riseurs, ou scanneurs, mais Ă©galement appareils photos numĂ©riques, camĂ©ra numĂ©riques, etc …

Ces engins permettent donc d’insĂ©rer sans trop de mal des documents dans l’ordinateur, facilitant la tâche de copie de ces dernières, de transmission, de mise en page, etc … Il existe Ă©galement des logiciels permettant de traduire une image contenant du texte en un document texte modifiable.

Toutes ces tâches permettent d’avoir les donnĂ©es dans l’ordinateur, mais il y a mieux : les logiciels de traitement de texte.

B / Les logiciels de traitement de texte

Les logiciels de traitement de textes ont Ă©tĂ© une vĂ©ritable rĂ©volution dans le monde informatique, cela permettait Ă  la fois de taper du texte et de le mettre en forme. Ceci dĂ©coule aussi de l’apparition des environnements graphiques.

a) L’interface

Les boutons et fonctions spĂ©cifiques Ă  la mise en italique, en lettre grasses ou en soulignĂ© du texte sĂ©lectionnĂ© est une rĂ©volution faite il y a bien des annĂ©es, et dont les mĂ©thodes portent toujours leurs fruits. Il est assez simple de faire ses prĂ©sentations Ă  l’aide des logiciels de traitement de texte, rien qu’en jouant sur les polices, la taille etc …

b) Les couleurs, la mise en page

Autre chose importante, les publicitaires vous le diront, les couleurs attirent l’oeil, ainsi que la zone gĂ©ographique occupĂ©e par le texte. Ainsi les traitements de texte ajoute couleur, mais aussi ordonnancement au texte.

c) Les styles

Finalement il reste l’automatisation de certaines choses, liĂ©es aux couleurs et formats de texte : les styles. Nous pouvons, sous Openoffice.org par exemple (logiciel de traitement de texte), mettre tout nos titres dans un mĂŞme format, pour finalement crĂ©er un sommaire d’un simple clic et quelques options. De la mĂŞme façon il est possible de modifier le document, ajouter des pieds de pages, des images, etc … La prĂ©sentation est donc un point important pour notre page.

C / Exemple

Rien de meilleur que du concret pour nourrir nos constatations :

a) Un article de journal, tel ceux publiĂ©s dans le journal local : les DNA ou Dernières Nouvelles d’Alsace.

INSERER IMAGE !!!

b) Le mĂŞme article tapĂ© Ă  l’ordinateur sur un logiciel tel que EDIT, NOTEPAD ou encore VIM

Le mĂŞme article peut ĂŞtre ainsi tapĂ© Ă  l’ordinateur, il est donc sous format numĂ©rique.

INSERER IMAGE !!!

L’outil informatique nous permet donc de prĂ©senter des informations de manière simple, nous permet de le stocker facilement, d’en faciliter la copie ou la transmission, mais aussi de prendre moins de place. Des mĂ©thodes ont cependant Ă©voluĂ© pour permettre l’accès plus rapide Ă  ces informations, c’est l’arrivĂ©e de la Toile.

III / La découverte de la Toile

La Toile (ou le Web) est arrivĂ© il y a peu, et permettait au dĂ©part de passer d’un document Ă  l’autre avec un système de liens, ces mĂŞmes liens qui tissent une vĂ©ritable Toile autour d’un sujet, d’un thème, de plusieurs sites, etc … En informatique, pour dĂ©signer du code qui permet de traiter des informations ou d’en crĂ©er s’appelle langage de programmation, cette fois ci, pour le rĂ©seau des rĂ©seaux (Internet), nous parlons souvent de langage de prĂ©sentation, du moins pour les deux premiers que nous verrons (HTML et XHTML).

A / La balise, vĂ©ritable vecteur structurant du texte pour l’impression sur la Toile

Pour prĂ©senter du texte il faut un code particulier, c’est pourquoi le HTML et le XHTML mettent, comme leur nom l’indique, une structure autour du texte Ă  l’aide de balises.

a) HTML

Le HTML (HyperText Markup Language, ou langage de balisage d’hypertexte) permet de mettre en place des balises simples pour rendre compte de l’Ă©tat de certaines parties du texte. Comme la balise

, par exemple, qui indique un nouveau paragraphe, ou encore

qui annonce un titre. Nous remarquons que les balises sont repérables à leur signe « < » et « > ».

b) XHTML/XML

Le XHTML (eXtensible HyperText Markup Language, ou langage de balisage d’hypertexte extensible) est un avant goĂ»t de la structure très stricte du XML, tout en gardant les balises de base du HTML. En somme l’on apprend Ă  sĂ©parer le document en deux : L’un prĂ©sente le contenu de la page, l’autre prĂ©sente de manière cachĂ©e, les informations utiles pour le document, comme un titre, un auteur, etc …

Ceci était également possible avec le HTML, mais non obligatoire, le HTML se voulant assez souple, certains le définissaient comme étant un langage barbare.

B / Notre journal traduit dans un langage de présentation : les balises en action

En parler c’est bien, le voir c’est encore mieux, je vous propose de voir notre article en format HTML, puis en format XHTML, histoire de voir les quelques diffĂ©rences, mais aussi de souligner les points importants d’un tel langage.

a) L’article, façon HTML


<!DOCTYPE HTML PUBLIC "-*W3C*DTD HTML 4.01*EN" "http://www.w3.org/TR/html4/strict.dtd">

<head>
  <title>Le tokay, c'est fini</title>
</head>
<body>
<h1 style="text-decoration: underline; color: rgb(255, 0, 0);">Le
tokay, c'est fini</h1>
<img src="Domaine%20des%20maronniers.png">
<p style="font-family: Lucida Sans;"><big>A partir
d'aujourd'hui, les viticulteurs alsaciens ne peuvent plus utiliser le
terme de tokay, restitu&eacute; officiellement &agrave; la
Hongrie, son pays d'origine. R&eacute;trospective en images de
l'histoire du tokay en Alsace.</big></p>
</body>

b) Sauce XHTML (quasi similaire)

<!DOCTYPE html PUBLIC "-*W3C*DTD XHTML 1.0 Strict*EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-strict.dtd">
<html xmlns######"http://www.w3.org/1999/xhtml" xml:lang"fr" lang="fr">
<head>
        <title>Le tokay, c'est fini</title>
        <link rel######"stylesheet" media"screen" type######"text/css" title"Defaut" href="dna.css" />
</head>
<body>
        <h1>Le tokay, c'est fini</h1>
        <img src="Domaine des maronniers.png" alt="Image du domaine des maronniers" />
        <p>A partir d'aujourd'hui, les viticulteurs alsaciens ne peuvent plus utiliser le terme de tokay, restitué officiellement à la Hongrie, son pays d'origine. Rétrospective en images de l'histoire du tokay en Alsace.</p>
</body>

LĂ  encore nous dĂ©couvrons des amĂ©liorations, mais le système prĂ©sente toujours des inconvĂ©nients, comme par exemple qu’il faille Ă  chaque fois ajouter des balises sur son texte, avant il fallait cliquer pour mettre en forme, puis imprimer notre oeuvre, dĂ©sormais la publication est plutĂ´t simple, c’est au tour de la crĂ©ation du documents d’ĂŞtre plus compliquĂ©e. Sans compter que le langage met en jeu (toujours d’après son nom, HyperText ou hypertexte) des liens vers d’autres pages, il faut donc tisser un rĂ©seau de documents grâce Ă  des hyperliens, cela devient vite ingĂ©rable.

IV / Une gestion plus simple de l’information : dĂ©couverte du dynamisme sur la Toile (entretien, maintenance plus simple d’un site internet)

Gestion, entretien, maintenance d’un site, toutes ces dĂ©nominations qui faisaient rager les constructeurs de sites internet avant que les langages de programmations ne viennent donner leur avis. En effet Internet prĂ©sentait des informations au travers de pages Ă©crites Ă  la main, et modifiĂ©es pour permettre Ă  l’utilisateur d’apprĂ©cier au mieux le contenu, mais du cĂ´tĂ© du crĂ©ateur, c’Ă©tait parfois barbant. Le dĂ©veloppeur, lui, a vite su trouver une solution au problème des pages internet : mettre en jeu un langage de programmation pour construire les pages.

A / Présentation de quelques langages utilisés

Il y a plusieurs langages, plus d’une dizaine, mais nous n’en verrons que quelques uns. Je n’utilise d’ailleurs pas tous les langages prĂ©sentĂ©s.

a) JS (Javascript)

Le Javascript, très utilisĂ© actuellement pour les technologies AJAX (Asynchronous Javascript And Xml, ou XML et Javascript asynchrones), permet d’ajouter des fonctions Ă  notre page, lancĂ©es au chargement de cette dernière ou encore durant la navigation. N’ayant personnellement pas utilisĂ©, mais simplement modifiĂ© quelques bouts de code, je ne pourrais pas en dire plus.

b) Java

Le Java est un langage Ă  première vue, proche du très connu langage C. Le Java est un langage interprĂ©tĂ©, c’est Ă  dire qu’il demande de la part de l’utilisateur la prĂ©sence d’une machine dite virtuelle (en gros un programme installĂ© pour que cela fonctionne). Cette dernière s’occupera de traduire le code en langage machine, ce qui est un inconvĂ©nient, puisque cela demande du temps. Mais la puissance n’est pas Ă  nĂ©gliger, comme l’ont remarquĂ© la plupart des webmestres (webmaster ou maĂ®tres Web).

Exemple -> chat.portedesetoiles fait en Java (par PJIRC)

c) Flash

Un nombre en progression constante de sites Internet sont publiĂ©s en Flash. Cette technologie a surtout montrĂ© ses avantages au niveau du graphisme, puisque l’Action Script livrĂ© rĂ©cemment avec Flash permet de rĂ©agir aux actions de l’utilisateur sur l’interface crĂ©Ă©e. La syntaxe pourrait ĂŞtre comparĂ©e au Javascript. La maĂ®trise d’un tel langage demande cependant une certaine expĂ©rience, n’est pas donnĂ© Ă  chacun de fournir de bons rĂ©sultats.

Exemple d’application crĂ©Ă©e avec Flash -> Le très cĂ©lèbre jeu DOFUS.

d) Python

Le Python est un langage qui existe depuis bien des annĂ©es. Celui ci est orientĂ© objet, en Python tout est orientĂ© objet. Il est très utilisĂ© pour des applications scientifiques, seulement il existe un cadriciel (framework) permettant de l’utiliser pour crĂ©er des sites internet. Le plus notable dans Python est le fait que la documentation est sous licence libre, et que la fondation PSY (Python Software Foundation) en est la maĂ®tresse. Autre chose intĂ©ressante : l’indentation est un point essentiel de ce langage, le code est donc très lisible et très Ă©purĂ©.

e) PHP

Notre petit dernier se nomme PHP, d’abord nommĂ© Personal Home Page (ou page d’accueil personnelle) par son auteur, le nom est devenu HyPertext Preprocessor (prĂ©processeur d’hypertexte). Ce langage est très utilisĂ© sur la Toile, entre autre car il est libre et permet de discuter facilement avec une base de donnĂ©es (lecture/enregistrement d’informations) comme MySQL, Ă©galement libre.

A travers ce petit aperçu, nous comprenons rapidement que les langages ne manquent pas, le choix est vaste, il reste au dĂ©veloppeur de faire sa propre mouture. Mais penchons nous plus amplement sur l’un de ceux lĂ , par exemple PHP.

B / Le PHP, ou les clĂ©s d’un succès rapide et facile sur le rĂ©seau des rĂ©seaux

Comme nous l’avons constatĂ© tout Ă  l’heure, le langage PHP est un des plus utilisĂ©s. Il est très connu, et c’est pourquoi la plupart des webmestres sont amenĂ©s Ă  l’Ă©tudier. Montrons quelques morceaux de codes qui constituent les fonctionnalitĂ©s principale de cette merveilleuse plateforme.

a) Se connecter à une base de donnée et afficher les informations récupérées

L’un de mes travaux a Ă©tĂ© la gestion d’un site concernant une distribution Linux (un système d’exploitation alternatif) nommĂ© GeLinux (Ganz Elsass Linux). A cet effet il m’a fallu m’occuper des nouvelles. Afficher des nouvelles se rĂ©sume Ă  ceci :

<?php
	mysql_connect($_SESSION['sql_base'], $_SESSION['sql_id'], $_SESSION['sql_mdp']); // Connexion Ă  MySQL
	mysql_select_db("blanko_gelinux"); // SĂ©lection de la base

	$retour = mysql_query('SELECT * FROM wsne ORDER BY dex DESC');

	while ($donnees = mysql_fetch_array($retour)) // On fait une boucle pour lister les news
        	{
?>
<tr>
<td><?php echo '<a href######"?pagenews&npage######ajoutnews&modifier_news' . $donnees['dex'] . '">'; ?>Modifier</a></td>
<td><?php echo '<a href######"?pagenews&supprimer_news=' . $donnees['dex'] . '">'; ?>Supprimer</a></td>
<td><?php echo $donnees['treti']; ?></td>
<td><?php echo date('d/m/Y', $donnees['stamptime']); ?></td>
</tr>
<?php
        } // Fin de la boucle qui liste les news
        mysql_close(); // DĂ©connexion de MySQL
?>

Ne pas oublier de fermer la base de donnĂ©es Ă  l’aide de mysql_close après chaque utilisation.

Ceci permet donc de récupérer des données stockées dans une base de données, et de les afficher.

Selon les requĂŞtes, le code utilisĂ© et la base de donnĂ©es, nous pouvons ajouter, modifier ou supprimer des informations pour un site internet, et les retranscrire (selon usages). C’est très utile pour des journalistes qui aimerait avoir une interface d’insertion ou de rĂ©daction d’articles, tout en permettant aux usagers de voir les articles au jour le jour.

Mais nous pouvons aussi ouvrir des fichiers, les modifier et les enregistrer.

b) Gérer les accès par modification du fichier .htaccess

Un autre point fort du PHP est l’accès aux fichiers. Nous pouvons ouvrir, lire, modifier, crĂ©er des fichiers, tout ceci grâce Ă  un ensemble de fonctions.

L’utilisation d’un fichier texte s’opère ainsi :

<?php
        // 1 : on ouvre le fichier
        $monfichier = fopen($adresse_fichier_mdp, "r+");

        //2 : On lit la premi&#232;re ligne du fichier
        $ligne = fgets($monfichier);
        // 3 : Puis on lit les lignes du fichier tant que la fin du fichier n'est pas atteinte &#224; l'aide d'une boucle while et de la fonction feoef()
        while (!feof($monfichier))
        {
                $ligne .= fgets($monfichier);
        }

        // 4 : quand on a fini de l'utiliser, on ferme le fichier
        fclose($monfichier);

        $ligne = trim($ligne, "<br/>t"); // On supprime dans le texte retourn&#233;e l'ensemble des tabulations qui rendent impure les lignes. <br/>t d&#233;signe la tabulation.
?>

Là encore il ne faut pas oublier de fermer le fichier une fois les actions terminées.

Ceci permet l’ouverture et la lecture d’un fichier quelconque, ou plutĂ´t prĂ©sent sur le serveur oĂą se situe PHP et dont nous avons l’accès en lecture. Nous pouvons aussi Ă©crire un fichier ou encore le modifier.

Cette fonction peut ĂŞtre intĂ©ressante pour le journaliste s’il veut pouvoir transmettre son travail autrement que par voie internautique, et donc envoyer par courriel son texte tapĂ© sur l’interface hypertexte. Mais il peut faire encore mieux, et envoyer directement un courriel contenant son texte ou mĂŞme un message pour notifier les habituĂ©s qu’un nouvel article a Ă©tĂ© publiĂ©.

c) Notifier une personne par courriel

Cette pratique est de plus en plus utilisĂ©es sur le net, pour les gens « connectĂ©s » en permanence, toujours Ă  l’affĂ»t de nouvelles d’un site internet, d’un message de rĂ©ponse Ă  un texte soumis sur un forum, etc …

En somme un courriel présente les caractéristiques suivantes :

<?php
        // On envoie un courriel &#224; l'administrateur pour le renseigner sur la demande de carton d'anniversaire
        $info_prenom_chanceux = $prenom; // Donnée récupérée d'un formulaire que nous venons d'envoyer
        $info_age_chanceux = $age; // Idem
        $info_ami_chanceux = $ami; // Idem

        $requete_ami_chanceux ###### mysql_query("SELECT prenomMembre FROM membres WHERE numeroMembre'$ami'"); // On récupère certaines valeurs dans les données enregistrées sur MySQL
        $tableau_ami_chanceux = mysql_fetch_array($requete_ami_chanceux);
        $info_prenom_ami_chanceux = $tableau_ami_chanceux['prenomMembre'];

        $info_destinataire = 'blankoworld@wanadoo.fr';
        $info_expediteur = 'mathidounette@free.fr';

        $destinataire_courriel = $info_destinataire;
        $sujet_courriel = "Nouvel demande de carton d'anniversaire";
        $message_courriel = "Le membre $info_prenom_ami_chanceux (n°$info_ami_chanceux) demande à ouvrir un carton d'invitation pour $info_prenom_chanceux, $info_age_chanceux ans.";
        $entete_courriel = "From: $info_expediteur" . "<br/>r<br/>n" . "Reply-To: $info_expediteur" . "<br/>r<br/>n" . 'X-Mailer: PHP/' . phpversion();

        //Envoi du courriel
        mail($destinataire_courriel, $sujet_courriel, $message_courriel, $entete_courriel);
?>

La fonction mail, comme bien d’autres, est très utile. L’ensemble de des fonctions prĂ©sentĂ©es par PHP permet de donner au site une vie, une dynamique. Cela permet aussi de simplifier la vie des administrateurs de sites internet, ou tout simplement de faciliter l’accès aux personnes responsables du site, sans qu’elles connaissent pour autant un semblant de programmation ou de langage de prĂ©sentation. D’ailleurs le cĂ´tĂ© esthĂ©tique ou prĂ©sentation (appelez le comme bon vous semble), peut ĂŞtre gĂ©rĂ© Ă  part, Ă  l’aide du CSS.

V / Présentation des pages, ou comment habiller son texte avec des feuilles de style

Ceci est un point important dont il faut s’attacher, surtout lors de la crĂ©ation de sites internet ou d’interfaces d’administration par affichage sur navigateur Web. Je parle bien sĂ»r des CSS. Mais qu’est ce que le CSS ? A quoi sert il au juste ? Et comment le fait il ? Nous aurons l’occasion de voir quelques brèves prĂ©sentations.

A / La sĂ©paration de l’âme avec le corps

J’imagine dĂ©jĂ  la question qui doit vous brĂ»ler les lèvres : qu’est ce que le CSS ? Quelques lignes que nous en parlons, mais le mystère reste entier. Levons le rideau, CSS veut dire Cascading Style Sheet, ou feuille de style en cascade.

Ce procĂ©dĂ© permet, si la page est bien construite, de vĂ©ritablement sĂ©parer fond et forme d’une page. A cet effet tous les paramètres concernant la localisation, la couleur, la police, etc du texte est contenu soit dans un fichier, soit dans l’en-tĂŞte du document (celle dont nous parlions quelques pages plus haut, et contenue entre les balises HEAD de la page). Le fait que nous puissions accumuler plusieurs pages CSS, a donnĂ© son nom Ă  ce procĂ©dĂ© (puisqu’utilisĂ©es en cascade).

L’avantage du CSS est que si nous sĂ©parons le corps et l’âme Ă  chacune des pages, nous observons une vitesse accrue de l’affichage des pages de tout un site. En effet au lieu de dĂ©coder des lignes et des lignes de code, le navigateur internet peut s’occuper lui mĂŞme d’afficher les pages, selon la feuille de style qu’il a acquis sur la page prĂ©cĂ©dente. En somme une modification sur les feuilles de style (selon qu’elles sont requises par chacune des pages du site) se rĂ©percute sur l’ensemble du site.

Nous avons eu recours Ă  ce type de stratagème d’une part pour gagner en rapiditĂ©, d’autre part pour rendre plus lisible les pages (le code). Et ce dernier point Ă©tait le plus important. Pourquoi ? Tout simplement car la prĂ©sentation des pages sur un navigateur Web a amenĂ© une sorte de valeur ajoutĂ©e aux documents : des images, un style particulier, finalement de l’art ! Outre le fait d’avoir un texte correct, le besoin d’attirer le client, les lecteurs et autres personnes sur le site a Ă©tĂ© pris comme dans le domaine de la publicitĂ© : la beautĂ©, l’intrigue, la curiositĂ© sont tous autant de facteurs permettant le visiteur de rester sur un site. Malheureusement les lignes de code pour afficher autant d’images, placer gĂ©ographiquement les Ă©lĂ©ments sur la page ont complètement saturĂ© la lisibilitĂ© des pages. D’oĂą l’arrivĂ©e du CSS.

Et l’utilisation du CSS est un vĂ©ritable plus, le rendu d’un site – graphiquement – revient Ă  moins d’une dizaine de jours, contre deux Ă  trois semaines auparavant ; tant ce procĂ©dĂ© est utile.

Mais voyons plutôt quelques uns de mes essais sur la présentations de sites internet.

B / Petits exemples pratiques

Nous ne prĂ©senterons que des impressions d’Ă©crans de certains des sites crĂ©es cette annĂ©e, ceci pour ne pas polluer de trop cette note de synthèse. Est Ă  observer la structure gĂ©ographique des sites, les couleurs utilisĂ©es pour les liens, les fonds, et les images de fonds. Tout ceci est fait avec des CSS (prĂ©sentĂ©s par date de crĂ©ation).

a) Portedesetoiles .NET (V1.0), Section RĂ©sumĂ©s – Affichage Ă  l’ancienne, cependant SANS tableaux)

INSERER IMAGE !!!

####b) GeLinux, Page d’accueil – La simplicitĂ© grâce aux couleurs primaires

INSERER IMAGE !!!

c) Mathidounette.free.fr, Section Anniversaire – Aspect atypique, couleurs féminine appropriées au thème du site

INSERER IMAGE !!!

VI / La cuisine gastronomique, ou comment marier quelques aliments parmi ceux cités

Jusqu’Ă  maintenant nous nous sommes efforcĂ©s de prĂ©senter quelque peu les diffĂ©rentes possibilitĂ©s permettant d’afficher sur internet des oeuvres Ă©crites par des journalistes, sans trop dĂ©tailler, ni sans trop faire coĂŻncider le tout. Et pourtant des liens existent entre tout ce que nous venons de montrer.

En effet il est possible de marier l’ensemble des langages : nous pouvons les faire communiquer entre eux et utiliser la puissance de chacun pour construire un tout cohĂ©rent et fonctionnel.

A / Quelques mots sur Python et Django

Il existe plusieurs types de cuisines, l’une d’elle concerne Python (langage de programmation tournĂ© Ă  la base vers le scientifique) et Django (un cadriciel Ă©crit en Python et utilisant Python pour afficher des pages internet).

a) Présentation de Python

Python est avant tout un langage utilisĂ© pour la crĂ©ation d’applications scientifiques. Que ce soit pour des calculs ou des traitements complexe, ce langage est très puissant. La particularitĂ© de ce langage est que tout est considĂ©rĂ© comme Ă©tant objet. Sans s’Ă©pancher sur la question, sachez que l’objet est une autre manière de programmer, plus rĂ©cente que la programmation impĂ©rative (fonctionnant d’une traite, dĂ©but Ă  fin). L’objet se dĂ©marque par l’encapsulation et l’hĂ©ritage.

Autre particularitĂ© de Python : l’indentation du code est obligatoire, sans elle le code ne fonctionne pas correctement. C’est un avantage certain pour la LISIBILITE du code. C’est donc plus propre Ă  lire et chacun peut utiliser le code de l’autre pour parfaire ses connaissances ou avancer sur un projet plus complexe.

b) Présentation de Django

Nous avions parlĂ© de cadriciel (ou framework). Django est de cette famille, c’est Ă  dire qu’il permet de crĂ©er une application plus rapidement, et avec peu de code.

Ainsi l’utilisation de Django par un administrateur le soulage :

B /Un mélange bien mesuré

C’est bien connu, quand on cuisine il faut peser avec soin les aliments, ne pas trop ajouter d’aliments forts, d’Ă©pices, etc … C’est exactement le cas avec les applications internautiques. Il faut mesurer le pourcentage d’utilisation de chacun des langages, et c’est ce que Django fait très bien.

a) Utilisation du langage Python au travers des librairies fournies par Django

L’utilisation de Python Ă  l’aide de Django permet la crĂ©ation de classes, d’objets, de fonctions mais Ă©galement de crĂ©ers des vues sur la base de donnĂ©es, de rĂ©cupĂ©rer des donnĂ©es, etc … Ainsi Django a besoin pour fonctionner des fichiers suivants :

C’est l’architecture mĂŞme de Django, mais ce n’est que du code de programmation, qui permet de traiter l’information, mais comment l’affiche t on ?

b) La séparation des pouvoirs ou comment avoir des templates

Django utilise les templates. Les templates sont semblables Ă  des moules. Ce sont eux qui vont dĂ©finir le squelette principal d’une page. Ils requiert donc des donnĂ©es en entrĂ©e. Chez Django, comme pour la plupart d’autres cadriciels, les blocs sont justement des morceaux de code qui indique l’insertion de donnĂ©es, ou encore un ensemble de commandes Ă  lancer lors de la lecture de la page, avant l’affichage. Nous les reconnaissons Ă  ces deux crochets ouvrants et Ă  ces deux crochets fermants autour du bloc en question. Par exemple <img style='margin-left: auto; margin-right: auto;' src=/img/objet.propriĂ©tĂ©'>.

Dans notre cas, ou plutĂ´t dans l’application que j’ai crĂ©Ă©e, les templates se trouvent dans le dossier « revĂŞtements ». L’accès Ă  ces revĂŞtements est indiquĂ© au fichier settings.py, puis dans le fichier views.py nous pouvons les utiliser lors d’un appel de page :

python return render_to_response('joueb/billet_seul.html', {'auteur': info_auteur, 'billet': billet_seul},)

C’est un morceau d’une fonction qui s’occupe de rĂ©cupĂ©rer les auteurs d’un billet, et le billet choisi afin de l’afficher, si tant est que l’URL est bien construite.

Ensuite dans le revêtement (template) nous pouvons utiliser les données, appelées ici auteur, et billet.

Il ne reste plus qu’Ă  nourrir notre prĂ©sentation de donnĂ©es, Ă  l’aide de XHTML, mais aussi du CSS.

c) L’utilisation du XHTML et du CSS chez Django

Bien que les revĂŞtements permettent l’affichage des donnĂ©es, elles ne sont pas correctes pour ĂŞtre affichĂ©es sur un navigateur Web. C’est pourquoi les revĂŞtements requierent au minimum un langage internet. A cet effet c’est du XHTML que j’ai choisi.

Tandis que le XHTML sert Ă  structurer la feuille de revĂŞtement, que les blocs insèrent les donnĂ©es, il ne reste plus qu’Ă  ajouter un affichage dĂ©cent Ă  l’aide du CSS. L’ensemble se retrouve alors dans ledit revĂŞtement, sous le nom (selon l’exemple citĂ©) billet_seul.html, dont voici une partie du code :

html<link rel######"stylesheet" media"screen" type######"text/css" title"Defaut" href="/media/css/pythoblog_index.css" />

Ceci est l’appel de la page CSS.

Nous avons alors un morceau de code s’occupant de l’affichage des donnĂ©es :

<div id="billet">
      <div id="billet_titre"><span><img style='' src='/img/billet.titre'></span> de <img style='margin-left: auto; margin-right: auto;' src='/img/auteur.prenom'> <img style='margin-left: auto; margin-right: auto;' src='/img/auteur.nom'></div>
      <div id="billet_contenu"><img style='margin-left: auto; margin-right: auto;' src='/img/billet.contenu'></div>
</div>

Les fameux blocs sont bien entre crochets, et nous utilisons les propriĂ©tĂ©s des objets pour un affichage. Ici nous appelons le titre de l’objet billet (reçu en entrĂ©e), le prĂ©nom de l’auteur, mais Ă©galement son nom et le contenu du billet en question.

Ainsi nous pouvons lier dans les templates le langage de programmation, celui du XHTML (prĂ©sentation) et celui du CSS (permettant un affichage sur l’ensemble du site crĂ©e).

VII /Conclusion

Nous avons parcouru les techniques utilisĂ©es dans le monde informatique pour le partage d’informations et la retranscription de celle ci Ă  travers les sites internet. Beaucoup de possibilitĂ©s sont offertes aux journalistes pour mener Ă  bien leur mission de partage de la connaissance Ă©vĂ©nementielle, les traitements de texte permettaient de numĂ©riser les textes, le numĂ©riseur ou les appareils photos permettent l’insertion des images dans l’ordinateur, puis le XHTML permet de structuer sa page correctement, après quoi une peinture Ă  la CSS constitue un bon moyen de modifier frĂ©quemment son site au niveau des couleurs et cela sans trop se fouler. En outre le dynamisme se faisant grâce Ă  l’insertion des langages de programmation a permis de simplifier la crĂ©ation des pages par exemple, la gestion des nouvelles ou mĂŞme l’envoi de courriel Ă  ceux qui le dĂ©sirent.

Finalement nous sommes arrivĂ©s au point oĂą le dĂ©veloppeur, pour rĂ©pondre au mieux Ă  ses clients, par exemple des journalistes, doit connaĂ®tre un ensemble de langage, ceci afin de les marier au mieux, et d’obtenir ce petit plat connu et apprĂ©ciĂ© de tous : un site internet proposant toute l’information dont ont besoin les utilisateurs pour un thème donnĂ©.